La beauté chez les femmes

La beauté est extrêmement difficile à définir ; elle peut signifier des choses très différentes selon la personne à qui vous la demandez. Il est difficile d’identifier un idéal exact de beauté aujourd’hui. Cependant, cela n’a pas toujours été le cas. La beauté, pendant des siècles, a été très stricte dans ses idéaux. Jetons un coup d’œil à quelques-unes des normes de beauté à travers l’histoire.
Standards de beauté à travers l’histoire
La beauté est extrêmement difficile à définir ; elle peut signifier des choses très différentes selon la personne à qui vous la demandez. Aujourd’hui, il est difficile de définir un idéal exact de beauté. Cependant, cela n’a pas toujours été le cas. La beauté, pendant des siècles, a été très stricte dans ses idéaux. Jetons un coup d’œil à quelques-unes des normes de beauté à travers l’histoire.
Les standards de beauté à travers l’histoire
• La beauté dans l’Antiquité – Les premiers créateurs de tendances
• Les normes de beauté à travers l’histoire
• Les critères de beauté de la Grèce antique
Ils étaient considérés comme intemporels et très stricts. Ces normes de beauté ont défini la tendance des idéaux de beauté des centaines d’années après leur création. Les femmes étaient appelées korai et représentées comme des femmes grandes, minces, réservées et à l’air serein.
Praxitèle a même déclaré que sa sculpture d’Aphrodite devait la montrer comme une « brillante statue d’or… Sa couleur doit être blanche mêlée de rouge, comme de belles roses ». On disait de la femme grecque idéale qu’elle avait un « corps mince, de petits seins, des épaules et des hanches larges, une taille fine. » C’est très différent de la vision standard de la beauté aujourd’hui.
Les critères de beauté à travers l’histoire
Les Égyptiens de l’Antiquité étaient connus pour désirer des femmes aux hanches larges et à la poitrine généreuse. Les hommes pensaient en effet qu’elles seraient moins susceptibles d’entrer en conflit lorsqu’elles étaient enceintes. Ils préféraient également les femmes « rondes et charnues » pour la même raison.
Les critères de beauté de l’Égypte ancienne
Les Égyptiens de l’Antiquité appréciaient également les lèvres pulpeuses, les cils recourbés en forme d’œil de bœuf et les iris noirs foncés. Les historiens peuvent faire remonter notre utilisation des cosmétiques aux anciens Égyptiens, qui utilisaient le khôl pour créer des yeux fumés spectaculaires. De nombreuses pratiques de beauté remontent à cette époque.

L’eau de rose était extrêmement populaire dans les soins de la peau et est encore utilisée aujourd’hui dans la plupart des nettoyants et des toniques. Il est en effet prouvé que l’eau de rose réduit les rides et resserre les pores ; elle a également une odeur incroyable ! Les Égyptiens utilisaient une pâte d’ocre rouge pour teinter leurs lèvres et leurs joues, des amandes brûlées pour colorer leurs sourcils et du safran comme fard à paupières. En général, chaque femme avait sa boîte à maquillage contenant ces ingrédients et les utilisait quotidiennement.
Les Égyptiens utilisaient également beaucoup le cuivre pour leur peau. On dit qu’ils l’utilisaient même pour tapisser leurs cercueils afin que leurs corps ne pourrissent pas. Les bienfaits du cuivre sur la peau sont nombreux, l’un d’eux étant qu’il peut aider à guérir les blessures et les cicatrices. Le cuivre est également connu pour ses propriétés anti-âge.
Les normes de beauté à travers l’histoire
La beauté du Moyen-Âge idéalisait la juxtaposition entre virilité et fragilité. Les hommes préféraient les femmes bien formées plutôt que minces. Les femmes d’âge moyen étaient également fières de leur modestie ; elles portaient un voile pour couvrir leurs cheveux, des décolletés qui dépassaient largement la clavicule et des robes à manches longues. Elles portaient des couleurs claires pour montrer leur piété.
Normes de beauté au Moyen Âge
Le Moyen Âge n’était pas exactement connu pour ses normes de beauté. La beauté, et les soins personnels en général, étaient souvent négligés en raison des conditions de vie difficiles et des morales religieuses strictes. Le haut Moyen Âge était dominé par la foi chrétienne. L’utilisation du maquillage et de l’hygiène était presque impensable, associant la beauté au danger et au péché. Cela était dû en grande partie à l’histoire d’Adam et Eve, où Eve était considérée comme une femme aux mœurs légères pour avoir exprimé son énergie féminine.
Au 12e siècle,
Les cosmétiques se sont répandus dans l’Europe médiévale. Les apocathes et les médecins étaient chargés de distribuer les produits de beauté. Des remèdes à base de plantes étaient utilisés pour fabriquer des potions et des onguents pour obtenir une peau claire. On peut aussi faire chauffer de l’eau sur un feu et tenir la pierre jusqu’à ce qu’elle transpire. Utilisez la sueur mélangée à de l’eau et lavez le visage. Les remèdes à base de pierres précieuses gagnaient également en popularité : on chauffait ou refroidissait les pierres et on les appliquait directement sur la peau pour éliminer les imperfections.
Les normes de beauté à travers l’histoire
À l’époque victorienne, il s’agissait d’avoir une apparence parfaite. On attendait des femmes qu’elles soient petites, fragiles et, surtout, pures. Tout ce qui pouvait être considéré comme sensuel ou sexuel était considéré comme tabou. Par exemple, les femmes étaient encouragées à se retenir de s’évanouir pour ne pas abîmer leur silhouette délicate.
Les normes de beauté de l’ère victorienne
Pour qu’une femme réussisse dans la société victorienne, elle devait adhérer à des normes de beauté extrêmement strictes. Une peau pâle était considérée comme belle, tandis que l’exposition au soleil pouvait entraîner des dommages permanents et des rudesses. En outre, les femmes devaient éviter de faire trop d’activité physique pour éviter les ballonnements. Les courbes étaient adorées, tandis qu’une « silhouette en sablier », qui ressemblait à une taille de guêpe, était considérée comme le summum de la beauté.